Froufffffffffff (bruit du vent!)
Ca y est! Je pète à nouveau la forme, je me réveille sans problême le matin depuis... ce matin! , bref, il semblerait que Grippe soit partie voir ailleurs ce qu'il se passe et ce n'est pas pour me déplaire! Je RE-VIS!
J'ai donc repris ma vie de maman "dynamique" traduisez qui ne se lève plus comme une larve à 10h du mat', avec tous ses lots d'enchantements et de... moments de solitude.
Le trainé de fesses de Pimprenelle est resté dans notre famille un classique!
C'est ainsi que je me suis levée de table pour aller chercher le sucre en dandinant de l'arrière train, presque à en toucher le sol. ( excessive?!). Mes p'tits Dé étaient tellement écroulés de rire que j'en rajoutais bien évidemment.
Et vas y que je tords à droite, et à gauche, et à droite et à gauche... Morts de rire mes p'tits Dé!
Je me suis alors autorisée quelques pensées comme "mon Dieu comme je suis drôle", ou encore "ouf, je les fais encore rire", et que j'tords à droite, et à gauche, " Ah ah ah"... " hé hé hé, vous en voulez encore?!".... j'étais à fond dans mon trainé de fesses quand...
Quand je me suis retournée, hilare et pleine de confiance en moi...
Là, un petit vent frais, vent du déjeuner, celui qui souffle au sommet des grand pins vous voyez, est venu jusqu'à moi... Aaaaaah Edit: tante Crotte vient de m'avertir qu'on pouvait croire que j'avais émis "un vent"... Comprenez bien que je me suis pris un vent par mes enfants hein!! Oh my God, j'espère qu'il n'y a pas eu de confusion...
Mes p'tits Dé ne nous prêtaient nullement attention avec mon arrière train...
Non, Pimprenelle profitait de la vue de mon postérieur pour se faire des crottes de nez avec son yaourt, provoquant un gloussement général...
Furtivement émue de toute cette complicité entre eux, un sentiment de solitude extrême a, oui j'avoue, très vite repris le dessus! Ainsi qu'un nettoyage en règle des crottes de nez yaourteuses...
Remarquez, c'était peut être pour me mettre dans le bain du thème préféré de Zef Zef en ce moment, très pipi caca depuis quelques jours... Toutes ses phrases se terminent de manière très poétique, flatulances et compagnie ne sont jamais très loin. Je vis du coup de formidables instants de solitude, notamment devant le directeur de l'école qu'il a gentiment rebaptisé: